Comment es tu devenu pilote ? (Monique)
Voici que depuis quelques saisons vos pilotes adorés(ées) vous emmènent dévaler les pistes. J'ai donc posé la question suivante à chacun des pilotes :
" Comment es tu devenu pilote ? "
Dans la série "comment es tu devenu pilote", nous commencerons par la réponse de Monique.
Mais avant de lire sa petite histoire en 12 lignes il faut quand même savoir que Monique n'est pas née avec un TandemSki aux pieds. Je l'ai croisée un jour sur une piste en ski. Mais oui c'était bien elle. Et en plus elle est autant douée sur deux skis qu'avec son TandemSki.
(ça m'énerve..)
Bon autre chose que vous savez tous maintenant mais j'aime bien me répéter un peu et cela me fait plaisir de rediffuser cette photo.
Elle adore les croissants que Vincent nous offre avant de commencer la journée.
(J'ai mis la photo en petit format, cela fait moins vorace)
Bon une petite dernière pour la faire légèrement maronner. Je sais qu'elle ne m'en tiendra pas rigueur.
Je ne sais pas si vous l'avez remarqué mais Monique porte toujours son bandeau fétiche.
(Je ne sais pas pourquoi, peut être que cela sera la prochaine question à lui poser).
Mais revenons à nos Moutons.
Alors Monique : Comment es tu devenue Pilote de TandemSki ?
Il y a environ dix ans, j’aidais Arnaud sur des sorties fauteuil-ski (nom donné à l’époque) qu’il organisait au sein de l’Association des Paralysés de France, où mon frère Pascal participe aux activités.
Un jour ce pilote me propose de faire la formation.
Et là, je m’entends encore lui répondre : « c’est un truc de mec, il faut des muscles ! »
Après discussion et réflexion, je me lance.
Janvier 2004, j’ai mon brevet de pilote tandemski.
Depuis le plaisir d’emmener des personnes se promener sur des massifs enneigés, leur apporter des sensations de glisse, de vitesse, d’évasion, reste le même.
Car en fait il ne faut pas du muscle. Mais surtout l’envie de partager ces bons moments, avec le maximum d’enfants ou d’adultes ne pouvant ou ne sachant pas skier seuls.
De cette expérience en ressort une multitude de bons souvenirs avec des amis extraordinaires. Mais ça, c’est une autre histoire…
A Bientôt
William
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